20 mars 2010
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Il y a un proverbe arabe qui dit que c’est de la confiance que naît la trahison. Doit-on en déduire que si l’on ne veut pas être trahi il ne faut faire confiance à personne ? Doit-on déduire qu’en politique il ne faille nullement faire confiance ? Si la politique n’existe que parce qu’il y a des hommes sur un territoire et qu’il faut les organiser pour favoriser la cohésion sociale et éviter la règle selon laquelle « la raison du plus fort est toujours la meilleure », il est indispensable d’accorder sa confiance à des camarades de lutte pour atteindre les objectifs… Est-ce à dire que la trahison serait donc un attribut de la politique… Elle serait donc inévitable !
Nous avons peine à croire cela. En effet, au dessus de la politique il y a la culture et, la trahison est un problème culturel. Il en va de même des principes idéologiques. Ils ne peuvent avoir de la consistance que s’ils émanent de la culture. Pour exemple, le choix entre l’article 73 et l’article 74 est culturel et non politique. Ceci nous permet de dire que le Maire de Cayenne est dans sa logique. Son comportement est au niveau de sa dimension culturelle. Le fait de posséder des titres universitaires ne prouve pas la qualité de son intelligence. On peut être universitaire et n’être qu’un perroquet bien entraîné… Lorsque l’on fait référence à ses diplômes il faut les accompagner de la preuve du niveau de son Q.I. Bien entendu, il y a des universitaires intelligents. En général, ils s’expriment et on les juge sur leur démonstration.
Avec le Maire de Cayenne actuellement en fonction, certains média tentent d’élever en vertu la trahison… Si l’on retient le proverbe arabe, comment a-t-on pu lui faire si souvent confiance lorsque l’on entend le nombre de personnes qui se disent victime de sa trahison ? Personne n’avait observé qu’il avait une sacrée expérience dans ce geste qui brise la loyauté…
Nous retiendrons certaines postures qui en disent long. Dire qu’on est de gauche et porter une liste de droite, c’est trahir ses principes. Dire qu’on est humaniste et demander à des français d’origine asiatique sous le vocable de communauté chinoise de voter pour soi…, dire qu’on est humaniste et traiter avec des français d’origine haïtienne sous le vocable de communauté haïtienne pour voter pour soi…, dire qu’on est humaniste et demander à des français d’origine brésilienne sous le vocable de communauté brésilienne, de voter pour soi…, dire qu’on est humaniste et traiter avec des français d’origine hmong, sous le vocable de communauté hmong, pour voter pour soi, tout cela est bien une trahison de ses principes. Enfin, mener campagne et dire à des citoyens qu’on ne détruira pas leur maison et proposer le contraire après avoir été élu, c’est bien une défiance de ses devoirs envers les citoyens et donc une trahison.
Lorsqu’une partie de l’électorat se laisse prendre par de tels arguments, force est de constater qu’il y a un problème culturel de fonds au sein de notre société. Par suite, la politique qu’il y a à mener relève davantage de la détermination idéologique, de la conviction militante que de l’exercice d’un métier bien rétribué.
Nous avons peine à croire cela. En effet, au dessus de la politique il y a la culture et, la trahison est un problème culturel. Il en va de même des principes idéologiques. Ils ne peuvent avoir de la consistance que s’ils émanent de la culture. Pour exemple, le choix entre l’article 73 et l’article 74 est culturel et non politique. Ceci nous permet de dire que le Maire de Cayenne est dans sa logique. Son comportement est au niveau de sa dimension culturelle. Le fait de posséder des titres universitaires ne prouve pas la qualité de son intelligence. On peut être universitaire et n’être qu’un perroquet bien entraîné… Lorsque l’on fait référence à ses diplômes il faut les accompagner de la preuve du niveau de son Q.I. Bien entendu, il y a des universitaires intelligents. En général, ils s’expriment et on les juge sur leur démonstration.
Avec le Maire de Cayenne actuellement en fonction, certains média tentent d’élever en vertu la trahison… Si l’on retient le proverbe arabe, comment a-t-on pu lui faire si souvent confiance lorsque l’on entend le nombre de personnes qui se disent victime de sa trahison ? Personne n’avait observé qu’il avait une sacrée expérience dans ce geste qui brise la loyauté…
Nous retiendrons certaines postures qui en disent long. Dire qu’on est de gauche et porter une liste de droite, c’est trahir ses principes. Dire qu’on est humaniste et demander à des français d’origine asiatique sous le vocable de communauté chinoise de voter pour soi…, dire qu’on est humaniste et traiter avec des français d’origine haïtienne sous le vocable de communauté haïtienne pour voter pour soi…, dire qu’on est humaniste et demander à des français d’origine brésilienne sous le vocable de communauté brésilienne, de voter pour soi…, dire qu’on est humaniste et traiter avec des français d’origine hmong, sous le vocable de communauté hmong, pour voter pour soi, tout cela est bien une trahison de ses principes. Enfin, mener campagne et dire à des citoyens qu’on ne détruira pas leur maison et proposer le contraire après avoir été élu, c’est bien une défiance de ses devoirs envers les citoyens et donc une trahison.
Lorsqu’une partie de l’électorat se laisse prendre par de tels arguments, force est de constater qu’il y a un problème culturel de fonds au sein de notre société. Par suite, la politique qu’il y a à mener relève davantage de la détermination idéologique, de la conviction militante que de l’exercice d’un métier bien rétribué.