18 avril 2009
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C'est une évidence que la départementalisation n'est pas arrivée à son terme. Mais en fait, quel est le terme de la départementalisation? Il apparaît à la conscience des hommes libres que par rapport à la loi de 1946 qui lui donne naissance, le terme est l'assimilation absolue de l'individu. Son authentique réalité est effacée au profit d'une autre réalité artificielle. Il n'est plus lui-même, il est un autre socialement, culturellement.
Le mot lui-même "Départementalisation" interpelle. D'abord, on comprend que sur le territoire hexagonal, il n'y a pas d'espace à départementaliser. Par voie de conséquence, il ne concerne pas l'hexagone. Alors, comment à partir d'une réalité particulière (hexagone) qui liée à une expérience spatio-temporelle propre, on arrive à tirer un concept général qui s'exprime par la départementalisation...
Tout individu doué de raison peut largement comprendre que ce concept lorsqu'il s'impose à un autre territoire ne peut pas venir de l'expérience mais bien de l'esprit. Du coup, le problème de la départementalisation est celui de sa réalité. Il en ressort donc qu'elle est vouée à l'échec.
L'expérience consciente sur notre territoire départementalisé permet de constater certaines aberrations dans des domaines très divers tels que la région monodépartementale, l'augmentation du prix de l'eau par l'accroissement de taxes alors que la nouvelle structure (Communauté des communes) a pour essence la mutualisation des coûts pour obtenir une baisse des prix.
Notre mode de pensée devient par essence artificiel. Comment penser un instant qu'une raison née d'une nourriture artificielle puisse engendrer des résultats positifs... La départementalisation sera arrivée à son terme lorsque l'individu départementalisé dira à haute et intelligible voix : "Je suis fier d'être assimilé, je n'ai aucune raison de m'interroger sur ma totalité, je suis le beau produit de la départementalisation, je suis le chef-d'oeuvre de l'auteur de ce concept". Ainsi, on devra admettre que l'échec en matière politique, économique, sociale et culturelle est celui de l'assimilé et par implication, celui de la départementalisation. Alors là et seulement là on pourra dire que la départementalisation est arrivée à son terme.
Entre-temps, ce serait une insulte de le dire pour ceux qui résistent, ceux qui veulent justement mettre un terme, par anticipation, au terme de la départementalisation et donc, mettre un terme à l'humiliation, à l'indignité, au chaos prévisible.
Le mot lui-même "Départementalisation" interpelle. D'abord, on comprend que sur le territoire hexagonal, il n'y a pas d'espace à départementaliser. Par voie de conséquence, il ne concerne pas l'hexagone. Alors, comment à partir d'une réalité particulière (hexagone) qui liée à une expérience spatio-temporelle propre, on arrive à tirer un concept général qui s'exprime par la départementalisation...
Tout individu doué de raison peut largement comprendre que ce concept lorsqu'il s'impose à un autre territoire ne peut pas venir de l'expérience mais bien de l'esprit. Du coup, le problème de la départementalisation est celui de sa réalité. Il en ressort donc qu'elle est vouée à l'échec.
L'expérience consciente sur notre territoire départementalisé permet de constater certaines aberrations dans des domaines très divers tels que la région monodépartementale, l'augmentation du prix de l'eau par l'accroissement de taxes alors que la nouvelle structure (Communauté des communes) a pour essence la mutualisation des coûts pour obtenir une baisse des prix.
Notre mode de pensée devient par essence artificiel. Comment penser un instant qu'une raison née d'une nourriture artificielle puisse engendrer des résultats positifs... La départementalisation sera arrivée à son terme lorsque l'individu départementalisé dira à haute et intelligible voix : "Je suis fier d'être assimilé, je n'ai aucune raison de m'interroger sur ma totalité, je suis le beau produit de la départementalisation, je suis le chef-d'oeuvre de l'auteur de ce concept". Ainsi, on devra admettre que l'échec en matière politique, économique, sociale et culturelle est celui de l'assimilé et par implication, celui de la départementalisation. Alors là et seulement là on pourra dire que la départementalisation est arrivée à son terme.
Entre-temps, ce serait une insulte de le dire pour ceux qui résistent, ceux qui veulent justement mettre un terme, par anticipation, au terme de la départementalisation et donc, mettre un terme à l'humiliation, à l'indignité, au chaos prévisible.