9 octobre 2008
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On nous parle de la crise financière... Les crises de ce type sont toujours salutaires. D'une façon générale, ceux qui ont le plus à perdre sont ceux qui avaient l'habitude d'en avoir beaucoup. Ceux qui n'avaient rien, n'ont toujours rien. Bien entendu, ce type de crise génère la zizanie parmi les possédants, ils se rendent compte que parmi les leurs certains ont pris trop de risques. Ils essaient donc de leur faire payer leur individualisme, leur mégalomanie, leur égocentrisme. Il ne se rendent pas compte que la stupidité à ses limites et que les richesses fictives ont un prix. Les peuples de la terre souffraient pendant que certains dilapidaient. Les peuples des pays du Sud souffraient pendant que des individus possédaient des richesses supérieures au budget de leur Etat.
Cette crise n'est pas que financière, elle est également morale. Trop longtemps les événements des sociétés dites modernes interpellaient notre conscience sans que le sens des responsabilités soit exacerbé. Trop longtemps, les gouvernements de ces pays industrialisés ont laissé bousculer, voire transgresser les lois biologiques, trop longtemps, ils ont laissé se développer dans le monde l'injustice avec son lot de cruauté au prétexte de mondialisation. Les savoirs finissent par s'opposer à l'intelligence, l'instruction semble vouloir défier l'intelligence.... Les sélections sont de plus en plus inhumaines. Elles ont lieu en fonction de l'origine des personnes, de leurs croyances,de leurs opinions et de la couleur de leur peau. Tous ces événements prouvent qu'il s'agit d'une société qui a perdu ses repères, une société qui s'est assise sur ses valeurs, une société qui risque de compromettre la survie des citoyens du monde. Ces sociétés sont dites libérales, capitalistes.
Une ère nouvelle doit commencer pour l'Humanité. Nous ne devons pas laisser passer cette chance. Il est souhaitable que cette crise aille jusqu'à son terme et que les leçons en soient tirées. Il faut en effet, un nouvel humanisme, une nouvelle échelle de référence morale qui dresse une éthique de société. Que cette ère nouvelle soit l'avènement de la sérénité par une justice plus équitable, de la paix civile par une meilleure compréhension des uns et des autres, de la liberté par une vraie démocratie enfin, de la coexistence heureuse du progrès avec le sens des responsabilités. Les nouveaux gouvernants seront la conscience éclairée de ces nouvelles sociétés.
La crise est morte vive la crise........
Cette crise n'est pas que financière, elle est également morale. Trop longtemps les événements des sociétés dites modernes interpellaient notre conscience sans que le sens des responsabilités soit exacerbé. Trop longtemps, les gouvernements de ces pays industrialisés ont laissé bousculer, voire transgresser les lois biologiques, trop longtemps, ils ont laissé se développer dans le monde l'injustice avec son lot de cruauté au prétexte de mondialisation. Les savoirs finissent par s'opposer à l'intelligence, l'instruction semble vouloir défier l'intelligence.... Les sélections sont de plus en plus inhumaines. Elles ont lieu en fonction de l'origine des personnes, de leurs croyances,de leurs opinions et de la couleur de leur peau. Tous ces événements prouvent qu'il s'agit d'une société qui a perdu ses repères, une société qui s'est assise sur ses valeurs, une société qui risque de compromettre la survie des citoyens du monde. Ces sociétés sont dites libérales, capitalistes.
Une ère nouvelle doit commencer pour l'Humanité. Nous ne devons pas laisser passer cette chance. Il est souhaitable que cette crise aille jusqu'à son terme et que les leçons en soient tirées. Il faut en effet, un nouvel humanisme, une nouvelle échelle de référence morale qui dresse une éthique de société. Que cette ère nouvelle soit l'avènement de la sérénité par une justice plus équitable, de la paix civile par une meilleure compréhension des uns et des autres, de la liberté par une vraie démocratie enfin, de la coexistence heureuse du progrès avec le sens des responsabilités. Les nouveaux gouvernants seront la conscience éclairée de ces nouvelles sociétés.
La crise est morte vive la crise........